Notre carte d’identité
Dès l’origine
Une école d’enseignement catholique.
Fondée par la Congrégation des Filles de la Croix.
Fidèle à l’esprit d’accueil de leur fondatrice, Mère Marie-Thérèse.
Une communauté dynamique
Rassemblant 200 membres du personnel et 1400 élèves.
S’appuyant sur une longue expérience pédagogique.
Proposant, au terme du 1er degré, un large éventail d’options techniques et professionnelles.
Dans un cadre d’exception
Des bâtiments accueillants dans un havre de paix.
Au pied des Coteaux de la Citadelle.
À deux pas de la Place Saint-Barthélemy, du Grand Curtius et de l’Esplanade Saint-Léonard.
À 10 minutes de la Place Saint-Lambert et de la Gare Saint-Lambert.
Notre projet
Une démarche d’intériorité
Proposant le message chrétien.
Promouvant la tolérance et le respect.
Permettant un choix éclairé.
Un encadrement
Se voulant à la fois humain et ferme.
Promouvant les valeurs citoyennes.
Attentif à la santé morale et physique.
Une formation
Au fait des nouvelles technologies.
Ancrée dans la vie professionnelle.
Initiant à l’humanisme.
Développant la réflexion critique.
Conduisant à la démarche personnelle.
Une pédagogie
Attentive aux différences individuelles.
Favorisant l’interdisciplinarité.
Promouvant le sens du travail.
Le projet éducatif, pédagogique et d’établissement complet peut être consulté sur notre site : Notre projet
Notre histoire
« Ji vs inme bin comme çoula » (« je vous aime bien comme cela »),
disait Mère Marie-Thérèse à tous les enfants défavorisés du quartier du Potay.
Elle a peu parlé, peu écrit.
Elle a beaucoup prié.
Elle a pris l’Evangile dans sa main.
Elle a dit oui.
Elle a agi.
Mère Marie-Thérèse, figure emblématique du XIXe siècle liégeois, fondatrice de la Congrégation des Filles de la Croix et béatifiée en 1991, est à la source de la création et de la philosophie de notre école.
S’ancrer dans le passé pour construire l’avenir
Situé dans un quartier proche du cœur historique de la Cité Ardente, l’IMT a connu les modestes débuts d’une école professionnelle accueillant une trentaine d’élèves. Quinze ans plus tard (1911), on en compte plus de trois cents, ce qui l’oblige à quitter ses locaux de la rue Hors-Château pour s’implanter définitivement rue Delfosse où les sœurs possédaient quelques arpents de vignes au bas des coteaux menant à la Citadelle. Entre-temps, les sections se sont diversifiées : coupe, lingerie, commerce, peinture, cours ménagers … L’offre d’enseignement que propose actuellement l’IMT se trouve en germe dans cette sélection certes balbutiante, mais urgemment adaptée aux réalités sociales de l’époque.
Pendant la Première guerre mondiale, l’accroissement du nombre d’élèves aboutit à la création, en annexe à l’Institut, d’une école moyenne professionnelle au Mont-Saint-Martin.
A l’issue du conflit, l’effrayante mortalité masculine poussa quelques chefs d’entreprise à mettre sur pied, avec la direction de l’IMT, une école de dessin industriel pour jeunes filles, prémices de l’actuelle section d’Art et Structure de l’Habitat.
Les difficultés de l’époque, bientôt prolongées par la grande dépression économique, puis par la Seconde guerre mondiale, donneront à la Congrégation des Filles de la Croix de multiples occasions d’exercer sa vocation première, l’aide aux plus démunis, non seulement par l’enseignement mais aussi par l’action sociale sur le terrain (formations dispensées par la Croix-Rouge, confection de vêtements destinés aux nécessiteux, repas populaires …)
La paix enfin revenue sera l’occasion de nouveaux défis. La seconde moitié du XXe siècle se caractérise à la fois par le désir d’ériger en institutions quelques tentatives isolées de l’entre-deux-guerres (expositions de travaux d’élèves, réunions de parents, retraites, voyages à Paris …), et par le constant souci de diversifier l’offre d’enseignement.
De nouvelles sections voient le jour : Publicité et étalage, Assistant(e) de laboratoire clinique … Une nouvelle distinction s’impose désormais entre l’enseignement professionnel et les humanités techniques. L’introduction du « rénové » en 1971 relancera cette diversification, avec la création des sections de Chimie, Services aux personnes, Tourisme, … tandis que s’opère en 1983 la fusion de l’enseignement secondaire du Mont-Saint-Martin avec celui de la maison-mère.
En 1996, les lampions des fêtes de notre centenaire n’étaient pas éteints que déjà se préparaient les esquisses de nouveaux chantiers.
Au sens propre d’abord : le bâtiment préfabriqué dont la construction s’était imposée huit ans auparavant pour accueillir l’afflux de nouveaux élèves ne pouvait rester plus longtemps « provisoire » … Il fallait impérativement acter l’évolution de l’Institut en visant plus haut, plus actuel, dans un cadre constituant à lui seul une petite cité dans la ville. Ainsi vit-on bientôt s’ériger un nouveau bâtiment tout à la fois spacieux, fonctionnel et harmonieusement intégré dans un ensemble architectural dont les premiers témoins visibles remontent au XVIIIe siècle.